On m’a dit : « Jacques, tu es trop radical. Il faut faire des compromis. »
Oui, je t’entends bien ; entre ceux qui veulent que l’état actuel perdure et ceux qui pensent qu’il est urgent de le changer, il faut faire des compromis.
Vains efforts ! Tu oublies le 3e partenaire : la nature.
Comme au foot ; quand deux équipes se battent (qu’il s’agisse de climat, de faim, de soif, d’usage des technologies, d’éthique ou de bonheur), finalement, c’est toujours l’arbitre qui décide, sans compromis.
Nous, nous ne pouvons que jouer le jeu. L’alternative conduit droit dans le mur.
Bonne année 2024 !
On continue !