Ce matin, au cours Biologie et Société, les groupes avaient 20 minutes (discussion incluse) pour présenter leurs thèmes. L’un concernait la thérapie génétique humaine, prochainement largement ouverte grâce à CRISPR/Cas9, l’autre gene drive promettant de « corriger » les espèces.
S’il n’y avait pas ce cours, comme c’est d’ailleurs le cas dans la plupart des universités, les étudiants traverseraient probablement toutes leurs études sans prendre un moment pour penser aux problèmes de société que posent ces nouvelles technologies.
Mais 20′ plus 20′, quelle misère pour une présence qui devrait être consubstantielle à toutes leurs études.